Toi qui habites Bruxelles, tu ne peux pas échapper aux affiches annonçant Cavalia, avec ce cheval blanc majestueux en guise de photo.  Il y en a à tous les coins de rues, bien + agréables à regarder que les affiches électorales, tu en conviendras ! Si tu ne vis pas dans la capitale, tu en as certainement également entendu parler, c’est un événement incontournable à + d’un titre ! Cavalia, c’est 50 (magnifiques) chevaux et 43 artistes, cavaliers mais aussi danseurs et acrobates qui se succèdent sur scène dans différents tableaux où le cheval est (presque toujours) présent.

Moi qui déteste les spectacles en général – souviens-toi de ma fabuleuse expérience au cirque – et qui ne suis pas du tout attirée par le concept Cirque du Soleil – le créateur de Cavalia en était l’un des cofondateurs mais heureusement il a eu la bonne idée d’intégrer des chevaux dans son propre spectacle -, j’avais un peu peur de ne pas aimer le show mais comme je suis fan des chevaux – et puis comme on m’a gentiment invitée #meloperdpaslenord – je me suis laissée tenter.

Normand Latourelle, créateur canadien du spectacle, et Poncho

Cavalia, c’est du rêve plein les mirettes ! Déjà, l’endroit a quelque chose de magique, grand chapiteau blanc immaculé qui se dresse telle une tente dans le désert.  Oui, ok, il faut beaucoup d’imagination pour se projeter dans le désert en plein milieu du parking C du Heizel mais il y a moyen !

Tu te laisses bercer par les sonorités venues d’ailleurs, par les paysages projetés en fond de scène qui donnent envie d’évasion, par ces acrobates qui font des trucs incroyables – genre que ça me rappelle à quel point je manque de souplesse – et puis bien entendu tu admires ces chevaux dont tu ressens la fougue mais qui se laissent pourtant dompter pour nous offrir le meilleur d’eux-mêmes.  L’alchimie est totale entre les chevaux et leurs cavaliers, je pense d’ailleurs que si ce n’était pas le cas, ils ne retireraient rien des farouches et têtus équidés ! (A mon avis j’ai été un cheval dans une autre vie #ceciexpliquecela)

Keith Dupont, le Belge de la bande, cocorico, un des piliers du spectacle, qui transmet au public son amour des chevaux par une prestation enthousiaste et authentique !

Cavalia au parking C du Heysel, c’est jusqu’au 8 juin et surtout tu y vas avec tes enfants si tu en as – trop d’chance – car la féerie est au rendez-vous et ça m’étonnerait qu’ils en ressortent en te disant « J’ai pas aimééééé » ! Si c’est le cas, revends-les sur ebay, tu as ma bénédiction #melomèreindigne

J’ai entendu des gens me dire “ça a l’air cool mais c’est cheeeer”… euh, les gars, ça démarre à 39€ (29€ pour les kids) pour 2 heures de spectacle… bref, c’est moins cher qu’un concert d’Yvette Horner, hein (ne me demande pas comment je connais les tarifs des concerts d’Yvette Horner, c’est juste un exemple pris au hasard pour faire la rime avec “cher”) !

Note qu’il y a possibilité d’y aller en VIP et c’est plutôt pas mal : buffet avant le spectacle, desserts pendant l’entracte, champagne – que tu peux, comble de la coolitude, transvaser dans un gobelet pour emmener avec toi au spectacle, on ne sait jamais que tu te sentes déshydraté(e) 😉 – et visite des écuries après le show mais là, je suis d’ac avec toi, c’est pas forcément donné #maisonnevitquunefois

Cavalia le site

Toutes les photos sont la propriété de Cavalia – ni vente ni reproduction autorisées ! #pastouche !

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